Ils se sont rencontrés sur le site de rencontre Fessestivites qui offre, outre les tonnes d'histoires, des photos et délires en tout genre, des forums à thème comme le SM, la chasteté, le bondage, l'ABDL. Guy 38 ans est bisexuel alors que Louis 40 ans est exclusivement gay. Guy a toujours été attiré par l'ABDL, les jeux de soumissions et bondage en couche, pendant des années, il s'est imaginé dans ses fantasmes et petits jeux solitaires, qu'il rencontrait une femme dominatrice qui pour l'humilier le forcerait à dormir entravé et en couche. Louis est plus accès sur la domination, il s'amuse parfois à dominer par internet.

Parmi les rubriques de Fessestivites il y a une rubrique exclusivement destinée à l'auto bondage, Louis s'y est amusé à créer des scénarios contraignant les personnes à sortir de chez elle pour aller chercher les clés en étant en couche ou avec des bondages corporels dissimulés sous les vêtements quand ce n'est pas avec un accessoire dans les fesses ou le vagin. Petit à petit, une amitié virtuelle a vu le jour la nuit principalement. L'un demeurant à Saint Maximin, l'autre à Brignoles, deux villes relativement proches, l'idée de se rencontrer pour réaliser quelques jeux est venue au fil des échanges. La première rencontre s'est faite dans un bar où, après 3 heures de discussions passionnées, la barrière des tabous s'est envolée.

Lorsque Louis propose une rencontre bondage et ABDL à Guy avec une cession durant une douzaine d'heures minimum, c'est avec un réel plaisir qu'il accepte. Le rendez-vous est fixé pour le vendredi suivant. Guy devra emmener des couches et ses accessoires ABDL Louis s'occupera du reste. Pendant la semaine, par email, ils affinent les règles du jeu. Etant bisexuel, Guy n'est pas opposé à un petit dérapage sexe toutefois modéré car il a un peu peur.

Le vendredi soir 19 heures

Les règles du jeu sont fixée, à partir du moment où il aura franchi la porte, il sera un bébé soumis plus ou moins obéissant qui devra subir des contraintes réelles. Comme convenu, Guy se présente à l'appartement de Louis. Très intimidé, il n'a pas besoin de jouer pour être sage. Louis prend la bouteille de champagne puis le prend par la main pour le guider jusqu'à son salon où, il lui demande de se mettre torse nu. Adepte de shibari, en un rien de temps, il lui fait un bondage de torse assez artistique et confortable. Les bras liés croisés dans le dos, Guy joliment entravé n'a plus qu'un choix, obéir.

Bien décidé à faire plaisir à Guy mais aussi à le séduire, Louis lui a monté un véritable plan de nounou diabolique avec une montée en puissance progressive. Histoire de lui permettre de se décontracter un peu, il lui fait boire un biberon de whisky plutôt chargé avant de le conduire à la douche. Très gêné, Guy se laisse dévêtir et doucher par sa nounou insistant sur son « robinet » puis ses petites fesses avant de le conduire à sa chambre pour le mettre en couche. Ayant pris des idées sur le forum, il ne lui met pas une couche mais deux en perçant la première afin d'augmenter les capacités d'absorption de l'urine puis la culotte en plastique emmenée par Guy ainsi que sa grenouillère. Comme il se sent protégé Guy vivant ses fantasmes d'infantilisme sous la contrainte affiche une solide érection dans ses couches.

Lorsqu'il voit Louis se mettre torse nu, il s'interroge sur la suite sans pour autant chercher à se soustraire. Assis dans le lit près de lui, il l'attire contre sa poitrine pour lui « donner le sein ». Sage et obéissant, Guy se prête au jeu et tette les tétons masculins ce qui a rapidement pour effet de les exciter. Quelques minutes et gémissements plus tard après avoir titillé les tétons du bébé à travers sa grenouillère, Louis se lève, entrave sommairement Guy sur le lit le temps d'aller préparer le repas. Seul, entravé avec ses fantasmes et dans ses couches, le gros bébé délire totalement. Réellement décidé à faire plaisir mais aussi à séduire, Louis venu chercher bébé pour le dîner, l'attache sur une chaise sur laquelle il a mis deux oreillers pour faire de la hauteur un peu comme une chaise-haute. Il lui offre ensuite un deuxième biberon de Whisky tout aussi chargé que le premier avec sans le lui dire un laxatif acheté pour la circonstance.

Pendant le repas léger donné en alternance à la petite cuillère au bébé toujours entravé, les confidences vont bon train entre le bébé et sa nounou. La vaisselle faite, Louis laisse Guy sur sa chaise pour aller préparer la chambre. Il place de longues cordes en travers du lit en 160 cm pour essayer de se rapprocher du système Ségufix. Pour faire la surprise à son ami, lorsqu'il revient le délivrer de sa chaise-haute improvisée, il lui bande les yeux. Grisé, Guy n'a aucune crainte et s'éclate littéralement dans son délire de contrainte. Etendu sur le lit, il se laisse manipuler et entraver les jambes. En un rien de temps, il ne peut ni les écarter ni les serrer ce qui a pour effet de dédoubler son excitation. Assis sur lui, Louis entreprend une campagne de séduction en jouant avec les tétons à travers la grenouillère. Pour aider bébé à faire son pipi, il lui fait quelques chatouilles puis reprend ses pincements et jeux sur les tétons de Guy qui finit par se lâcher. Uriner entravé, en couche, sous les doigts d'un gay jouant avec ses tétons est presque jouissif au sens propre du terme.

En murmurant timidement « mon dieu que c'est bon », Guy ne sait pas qu'il n'en est qu'au prélude de ses aventures entre les mains de Louis. Il l'abandonne un moment pour se rendre à la salle de bain prendre une douche. Dans la pénombre de la chambre seulement éclairée par le réverbère filtrant à travers les volets, couché contre lui, Louis ouvre la grenouillère pour grignoter les tétons du bébé en caressant ses jambes et le devant de sa couche. Guy savoure les effets des attouchements monstrueusement sensuels sans pour autant pouvoir accéder à la jouissance. Dans un état d'excitation avancé, lorsque Louis lui propose de prendre son gros biberon s'il veut être entravé différemment pour la nuit et ne pas souffrir, Guy accepte avec plaisir de lui faire une fellation. Couché sur le côté et penché sur lui, il prend en bouche sa belle verge en érection pour la sucer avec conviction. La position particulièrement inconfortable ne lui permet pas de poursuivre longtemps.

Pour le soulager, Louis lui propose de faire comme s'il faisait un 69, chose que Guy accepte bien volontiers. Entravé sur le dos avec les mains de Louis jouant avec son sexe à travers ses couches, il s'imagine être livré à une horde de mâles sanguinaires le f o r ç a n t à les servir de sa bouche. Si bien qu'il s'excite monstrueusement en suçant la verge de plus en plus dure qui maintenant se sert de sa bouche comme d'un sexe. Lorsque Louis se met à jouir, comme il n'a pas pu anticiper et n'a plus la possibilité physique d'éviter les jets de sperme. Pris dans la tourmente, il effectue sa première fellation jusqu'au bout en avalant tant bien que mal la semence généreuse.

Louis comblé mais aussi satisfait d'être parvenu à pousser Guy dans ses retranchements, passe sans tarder à la suite de son plan. De sa table de nuit, il sort une sucette de bébé achetée au supermarché du coin puis un rouleau d'adhésif d'emballage. La bouche forcée par la sucette, Guy comprend trop tard lorsque le ruban d'adhésif posé sur sa sucette se met à faire le tour de sa tête, qu'il n'aura pas d'autre choix que de garder le gout du sperme en bouche ne pouvant plus demander à boire. Louis passe ensuite la dernière corde sous les aisselles du bébé puis affine ses réglages. Entravé par un shibari puis des cordes à la façon Ségufix par Louis, le gros bébé ne risque pas de s'échapper.

Louis s'étend contre lui pour dormir et lui souhaite « bonne nuit ». Epuisé, Guy tire par plaisir sur ses entraves puis finit par s'endormir. Sa nuit particulièrement inconfortable est peuplée de songes érotiques. Réveillé par une envie d'uriner, il s'abandonne à nouveau dans les couches en espérant qu'elles ne fuient pas. Il ne retrouve le sommeil que bien plus tard, les entraves des ses bras commençant à le faire souffrir. Lorsqu'il se réveille, Louis n'est plus là. Il essaie de l'appeler puis de faire du bruit mais en vain, le scotch d'emballage résiste, s'il arrive tant bien que mal à respirer par la bouche mais sa voix ne porte pas. L'envie d'aller aux toilettes pour la grosse commission devient extrêmement pressante. Une heure et des tonnes d'appels plus tard, les fuites anales qu'il ne peut contenir le mettent particulièrement mal à l'aise. Il n'a jamais fait du solide dans sa couche et le faire chez quelqu'un le gêne terriblement. En voulant des jeux avec des contraintes réelles, Guy s'est enfermé dans un état d'abandon physique et psychologique tel qu'il n'est plus lui-même.

Louis entre dans la chambre vers 11 heures avec sur un plateau des croissants frais et un bol de café en demandant si bébé a bien dormi et s'il a fait bien la totale dans sa couche. Guy blême ne peut que marmonner mais comprend à sa façon de taper sur les couches entre ses jambes que ses fuites anales ne sont pas naturelles car en temps normal il est capable de se retenir. Sa sucette retirée et quelques cheveux arrachés, Guy supplie son ami de lui libérer les bras, les muscles de ses épaules le font terriblement souffrir. Son bourreau lui explique qu'il doit d'abord présenter ses hommages au sexe de sa nounou s'il espère être libéré tout en lui rappelant, que dans leurs emails, Guy avait insisté sur une contrainte réelle. De bonne grâce et surtout pour être libéré, lorsque Louis l'enjambe, il suce comme demandé puis lèche les testicules agréablement parfumée pendant qu'au dessus de ses yeux, une main « astique » généreusement la verge tendue. En un rien de temps, il reçoit sur le visage des jets de sperme mais il refuse ensuite de faire la « toilette » du Popaul. Un pied passant entre ses jambes pour forcer sur sa couche, l'incite à redevenir obéissant. A nouveau pris dans la tourmente psychologique du jeu qu'il avait envie de vivre, il finit par se mettre à apprécier la grosse bite qu'il aimerait bien avoir ailleurs.

La libération est délicate pour Guy obligé de s'asseoir dans sa couche pleine pour qu'il puisse lui libérer les bras et le laisser déjeuner. Pendant que Louis lui libère les jambes, il masse ses épaules et fait de grands mouvements avant de savourer un bon café. Prié de se rendre seul à la salle de bain, Guy particulièrement gêné s'y rend à petits pas avec ses grosses couches bien pleines. Cette étape de ses expériences est la moins frôle mais les sensations éprouvée pendant les jeux compensent largement ce côté très déplaisant.

Ne trouvant ni vêtement ni peignoir dans la salle de bain, il sort nu avec une serviette autour de la taille pour les demander. Louis lui rappelle aussitôt que la durée du jeu est de 24 heures, ce qui signifie qu'il lui doit encore une dizaine d'heures d'obéissance. Devant le manque de conviction, Louis le conduit à la chambre puis s'assoie sur le lit en l'attirant sur ses genoux. Les fesses rebondies superbement dessinée de Guy sont un véritable appel au vice pour un gay, ayant promis de ne pas pousser trop loin les jeux « sexe », il entreprend de donner une petite fessée au grand bébé. Douce, lente, avec une alternance de caresses, la fessée érotique génère de troubles pensés en Guy qui maintenant se cambre et s'offre à la main punitive pour mieux savourer les sublimes sensations.

Préférant générer l'envie de plus et l'envie de revenir pour vivre d'autres fantasmes, Louis fait étendre Guy sur le dos pour étaler une crème sur ses fesses à peine rouges mais également pour positionner une cordelette. Sortant un long et fin plug avec un petit anneau à sa base, il lui dit avec humour : « c'est pour qui le gros suppo ». Jambes en l'air, le gros bébé appréciant ce type de jouet, s'offre totalement pour sa mise en place. A la façon dont le plug trouve son chemin, Louis, convaincu que son bébé doit jouer avec des modèles plus gros, ne dit rien mais commence déjà mentalement à faire des projets plus « virils ». Le plug maintenu par un string de corde, il lui met une couche presque de force en rappelant au bébé ses promesses d'obéissance.

Simplement vêtu de sa couche et de sa culotte en plastique, le gros bébé aide à ranger la maison. Il s'étonne ensuite lorsque Louis lui passe à nouveau des menottes et plus encore lorsqu'il lui met son pantalon. En guise de ceinture, sa nounou perverse et prévoyante enfile une chaîne dans les passants du pantalon avant de la serrer fortement et de la boucler avec un cadenas à combinaison. Parvenus à piéger et surprendre son soumis, il lui retire les menottes en lui demandant de s'habiller.

• Tu ne vas pas me faire sortir comme ça ? Demande Guy inquiet.

• Et si gros bêtas, tu vas même rentrer chez toi et me faire un compte-rendu de cette expérience par email. Quand je l'aurai lu et si le texte me plait, je t'enverrai la combinaison du cadenas que tu me rendras la prochaine fois que tu viendras.

Particulièrement mal à l'aise, Guy remercie sa nounou avant de prendre ses affaires pour sortir. Il ouvre la porte doucement pour vérifier qu'il n'y ait personne sur le palier, Louis le pousse et claque la porte derrière-eux pour l'accompagner à sa voiture. Blême, ne pouvant plus reculer le gros bébé se lance dans le couloir en priant le seigneur que personne ne remarque la taille de son pantalon. Parvenu au parking, une fois assis dans sa voiture, il remercie encore sa nounou mais la traite avec humour, de « grosse sadique ».

• Tu garderas ta couche une heure de plus pour la peine ! Lui répond Louis très provoc.

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En franchissant la porte de son domicile Guy est soulagé d'être parvenu à rentrer sans encombre. Pendant qu'il rédige le compte-rendu demandé, monstrueusement excité le gros bébé caresse son sexe dur à travers sa couche en s'imaginant d'autres jeux avec du « viol » et des délires encore plus poussés. Dans ses écrits, il laisse entendre qu'il n'aurait pas porté plainte, si sa nounou avait abusé de lui. Après avoir envoyé l'email, il parvient à se faire jouir à travers la couche. Son petit cul se contractant sur le plug en même temps qu'il éjacule lui procure une jouissance d'une puissance rare. Une fois revenu sur terre, l'excitation passée il s'interroge sur ses écrits. Après avoir jouis, le fait d'avoir indiqué qu'il était prêt à plus, le perturbe un peu.

Ce n'est que vers vingt-heures qu'il reçoit la combinaison de son cadenas avec des promesses de jeux bien plus coquins. Ces promesses vont monstrueusement exciter Guy maintenant prêt à « passer à la casserole » avec Louis comme Maître et guide vers une bisexualité débridée.

FIN